Équivalence des formations étrangères
La sécurité est primordiale pour toutes les activités de plein air ou d’aventures proposées. Des guides bien formés contribuent pour une large part à la sécurité, d’où l’importance de formations reconnues, ainsi que de cours et d’examens uniformisés. Avez-vous suivi une formation à l’étranger ou possédez-vous un diplôme étranger ?
Certificats de capacité étrangers reconnus
Safety in Adventures tient à jour une liste des brevets d'aptitude étrangers reconnus comme équivalents aux brevets suisses (au 30.11.2018). Les certificats de capacité étrangers, qui figurent sur la liste, n'ont pas besoin d'un autre test d'équivalence pour l'équivalence avec les certificats de capacité suisses et ne doivent pas être remplacés par un certificat suisse. En règle générale, la présentation du certificat de compétence étranger reconnu est suffisante.
Liste des certificats de capacité étrangers reconnus
Certificats de capacité étrangers non reconnues
A partir du 1er mai 2019, l'OFSPO sera responsable des demandes de reconnaissance des certificats de compétence nationaux et étrangers pour les cadres et le personnel auxiliaire conformément à l'art. 15 de l'ordonnance révisée sur les risques. Les candidatures doivent être envoyées par écrit (par courrier postal ou électronique) à l'adresse publiée sur https://www.baspo.admin.ch/fr/aktuell/themen--dossiers-/gesetz-ueber-risikosportarten.html .
Pour l'information : Conformément à l'art. 15 al. 1 de l'Ordonnance révisée, les conditions suivantes doivent être remplies pour une éventuelle reconnaissance :
Art. 15 Reconnaissance de certificats de capacité pour moniteurs et auxiliaires
L’OFSPO reconnaît les certificats de capacité suisses et étrangers pour les moniteurs et les auxiliaires (art. 13, al. 1, let. c) pour autant que ces certificats aient été établis conformément aux exigences suivantes:
a. la personne candidate a réussi un examen et a attesté qu’elle disposait d’une expérience pratique suffisante avant le début de l’examen;
b. l’examen était théorique et pratique et portait sur des connaissances et des capacités en matière de sécurité;
c. l’examen durait au moins une journée de travail;
d. l’examen a été effectué par deux experts, dont au moins un n’était ni l’employeur ni le formateur de la personne candidate;
e. le diplôme obtenu répond aux exigences d’une association sectorielle représentative et active dans toute la Suisse ou d’un organisme d’Etat.